Démbulons nous perdrons bien quelque chose.
Travaux de peinture, c’est ainsi que l’on pourrait résumer la journée. Les volets ont été descendus par les maçons et « AbFab » et moi avons prévu de les peindre. Bien entendu cela ne va pas sans tensions : mon ponçage est trop réalisé. Néanmoins on progresse.
The Abandons est la série que nous regardons : le thème des personnages orphelins qui se reconstruisent au milieu de la violence du far west est intéressant. Cependant la fin en queue de poisson est frustrante.
Je me remets doucement à l’écriture de mon roman de sf. Généralement je n’ai pas besoin de documentation mais vu le sujet (comment éviter de s’écraser sur le Grand Mur) je lis pas mal de publications d’astrophysique.
Le projet qui me tient en haleine part contre les stéréotypes de la SF : les combats et les fusées seront réduites à des rôles secondaires. La « nounette » me dit que ce n’est pas grave si je ne publie pas. Elle a raison : le principal est de se faire plaisir.
Pas de cours à préparer avant l’an prochain, plus de travaux à surveiller ; seulement le feu à activer et à surveiller, quelques courses pour Noël, ma marche thérapeutique dans les bois, le courant à assurer.
Les maçons ont tout remballé et nettoyé et nous partageons une bière avec eux. Une manière de se dire au revoir de façon sympathique.
Je prends des nouvelles de « c’est quoi ce bord d’aile » qui est en arrêt maladie. Dans ma vie professionnelle j’ai eu la chance de ne pas cocher la case « burn Out ». Je crois aussi que je n’ai pas donné prise à ce type de tensions.
Et je suis à l’heure des publications. Pour autant suis-je d’équerre avec WordPress? Je ne peux l’affirmer.
Le soir j’accompagne un voisin au conseil municipal : j’admets préférer ce type de soirée à une soirée de divertissements télévisuels. Mon envie de faire partie de ce conseil me tenaille de plus en plus fort.
Il s’agit de la fête prochaine de Noël qui se déroule chez nous et chez « reine mère » et nous recevons pas moins de 16 personnes. Se préparer aux tensions et aux fatigues.
La météo est à peine fraîche. Vous comprenez que nous ne vivons pas encore un hiver franc. Eh sserni! Automne! Nous sommes encore en automne! Ah OUI.
Eh bien pas grand chose – voyez y le signe d’une vie heureuse, comme beaucoup d’entre nous y aspireraient. Lors de notre messe le sermon porte sur la liberté. Réjouissant.
Mon épouse est très souvent en télé travail ce qui implique qu’elle sort relativement peu de notre jardin, voire pas de la maison et ainsi il est compréhensible qu’elle souhaite pointer le nez en dehors de notre village. Ce samedi est consacré à divers achats et un restaurant libanais accueille nos appétits. Le temps convient à mon épouse : 0 souci car je sais qu’il est plu difficile de se caler sur ma météo que moi de se caler sur la météo de la grande majorité de mes congénères.
TransParis 